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LA RÊVERIE

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Pendant 34 ans le Bateleur théâtre a principalement créé ses spectacles en région parisienne avant de partir en tournée et ainsi sillonner la France, la Belgique ou la Suisse et même l’Île de la Réunion. 34 années à fouler les plateaux des scènes nationales, des théâtres conventionnés, des théâtres municipaux, des salles des fêtes, parfois des gymnases, des théâtres en plein air, des scènes improvisées dans des écoles ou des médiathèques. Nous restions au même endroit le temps d’une représentation, parfois une semaine et nous reprenions la route. Nous avons pu appréhender des publics de tous horizons, des équipes techniques formidables et des directrices et directeurs de lieux passionnés et passionnants. 


 

Au fil des ans a germé cette idée que la compagnie aussi pourrait avoir son propre lieu pour créer et pour accueillir d’autres artistes en mal d’espace et de temps. 


Rêve fou mais surement pas irréalisable puisque c’est à Bioussac, en Charente, que nous avons trouvé l’endroit magique qui d’emblée nous a fait rêver.

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La Rêverie, c’est une maison de 350 m² qui, avec ses 7 chambres dédiées à l’accueil d’artistes, peut héberger jusqu’à 14 personnes. Deux chambres et une salle de bain au 1er étage et un appartement équipé d’une cuisine, une salle de bain, un salon/salle à manger et 5 chambres au 2e étage.

 

L’espace de travail est une grange que nous avons fait réhabiliter dans le respect de son architecture charentaise, d’une surface de 300 m² au sol avec une mezzanine de 85 m². Une grande baie vitrée permet à la lumière du jour d’y pénétrer. Un accès PMR a été réalisé.

 

La Rêverie c’est :  
Un lieu transgénérationnel et pluridisciplinaire. 
Un lieu idéal pour se concentrer et pouvoir travailler en paix, l’esprit détaché des contingences, dans un environnement hors du tumulte de l’urbanité. 
Un endroit chaleureux pour créer, partager, explorer, échanger, débattre, réfléchir et découvrir. 
Un lieu où les artistes pourront développer une relation singulière au paysage et aux populations du territoire pour qu’ils deviennent des « acteurs culturels » en associant les différentes populations à leur démarche et à leur propre sensibilité. 
Un lieu humain de coopération, de collaboration et de transmission.


Bénédicte Charpiat et Jonathan Kerr

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