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Moby dick
ou le chant du monstre

création Festival d’Avignon 2010 • Vingtième Théâtre Paris 2011• tournée

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Le Péquod prend le large. À son bord, toutes sortes de marins, et autant d’idéaux à poursuivre.

À leur tête, le Capitaine Achab et sa jambe d’acier. Personne ne l’a encore vu sur le pont, à part Ismaël, jeune mousse, et dernier arrivé à bord. Avec sa détermination, ses discours enjôleurs et ses chants guerriers, Achab va envoûter son équipage et les mener à l’ultime combat contre celle qui lui a pris sa jambe, celle qu’il admire tant et qu’il ne craint plus : Moby Dick.

Harpe, accordéon et violoncelle les accompagnent vers leur dernier combat.

 

Ce spectacle est une invitation au voyage vers les contrées les plus obscures et mystérieuses qui nous habitent.

Avec le Capitaine Achab, laissons-nous porter par cette formidable aventure initiatique.

Générique

Moby Dick ou le chant du monstre de Jonathan Kerr
Mise en scène : Erwan Daouphars


Avec : Jonathan Kerr • Laurent Malot • Amala Landré • Marianne Le Mentec (harpe) • Johanne Mataly (violoncelle) • Crystel Galli (accordéon)


Création et réalisation des accessoires : Bénédicte Charpiat • Création costumes : Renato Bianchi • Décors : Jean-Jacques Gernolle •  Création lumière : Antonio de Carvalho • Régisseur : Idalio Guerreiro • Chorégraphe : Martin Ysebaert • Maquillage : Raphaëlle Daouphars • Arrangements musicaux : Roger Loubet         


Production : Le Bateleur théâtre

Soutiens : Spedidam, CNM, Beaumarchais-SACD

Diffusion : Odile Andrieu, Atelier théâtre actuel

Revue de presse

sortiraparis.com

« Cette version de Moby Dick est saisissante, elle mêle des ambiances à la fois sombres et hautes en couleurs, Erwan Daouphars nous offre un spectacle musical à livre ouvert ! Cette pièce dégage une énergie incroyable. Ce roman nous amène à nous poser des questions existentielles : peut on tout pardonner ? Notre avenir dépend-il forcément du passé ? Cette pièce permet au public de faire des rencontres artistiques avec les protagonistes de ce spectacle musical, ainsi on découvre un Jonathan Kerr envoûtant, tout autant que les autres comédiens et musiciens. »

 

 

webtheatre.fr

« Ce Moby Dick, qui se déroule comme une suite d’éclairs trouant la nuit mentale d’un chasseur, a la belle pulsion des meilleurs spectacles musicaux et la puissance grave d’un oratorio. »

Photos © Bernard-Michel Palazon 2010

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